CYSP 1. dansant, 1956 |
La suppression des volumes opaques et l'utilisation exclusive de l'ossature apparente contrepointée par les rythmes des éléments plans, l'utilisation de la couleur et des sons extraits par percussion de la sculpture même, enregistrés et diffusés électroniquement, et finalement, le mouvement autonome, organique, disons même intelligent, grâce à la cybernétique, qui permet à la sculpture d'offrir aux spectateurs un spectacle toujours varié et différent réalisant dans un seul objet une synthèse totale entre la sculpture, la peinture, la chorégraphie, la musique et le cinéma. (source: http://www.olats.org/schoffer)
En 1956, CYSP-1, la première sculpture autonome comme le souligne Éléonore Schöffer, est intégrée au programme du Festival d'avant garde de Marseille. Sur le toit de la Cité Radieuse, elle évolue avec les danseuses du ballet de Maurice Béjart sur une musique de Pierre Schaeffer. L'œuvre est aujourd'hui remisée dans l'atelier de l'artiste et attend qu'un musée s'en porte acquéreur.
Pour aller plus loin :
Internet : http://www.olats.org/schoffer/cyspf.htm
Vidéo : http://www.ina.fr
Pour aller plus loin :
Internet : http://www.olats.org/schoffer/cyspf.htm
Vidéo : http://www.ina.fr